Reprenons (bis)
Je sens mon lectorat impatient de connaître la suite de l'histoire. Il ne peut pas attendre demain !
Ensuite, on ouvrait le robinet du fond de l'engin, (après l'avoir posé sur un tabouret - ou deux chaises) et le miel s'écoulait, lent et doré, une merveille ! Après ? On n'était pas tellement fanas de miel - trop sucré. En fait des amies à nous le vendait à des gogos auxquels elles affirmaient que c'était du miel de bruyère, ou d'acacias - ou n'importe quoi !
Ma mère avait horreur de ces journées assez pénibles, où tout "collait" et qui demandaient beaucoup de nettoyage. Mon père, lassé, et voyant que la relève ne s'annonçait pas, finit par vendre ses ruches. Mais un farfelu des Boscherons, en plus de son âne, est arriver à entreposer quelques ruches dans le jardin - maintenant exilées dans le pré d'en face, et nous a fourni quelques potsde miel.
A suivre !
Je pense que le saké n'est pas étranger à l'euphorie générale !