Beau temps ?

Mais oui, beau soleil, température agréable... On est bien en février ?

Les effets secondaires sont toujours là, signe que mon médicament est toujours nocif (et bénéfique ?). J'ai tout de même hâte de moins larmoyer, de ne plus avoir les doigts qui me piquent, et que mon index cicatrise... La fatigue aussi, à moins que l'âge ne soit le responsable...

Replongeons dans le passé, puisque le présent n'est pas tellement rigolo.

"Nos vêtements ? Culotte courte pour les garçons - par tous les temps, et béret basque, qui donnait lieu à des batailles homériques pendant les récréations. A noter qu'apparemment nous possédons dans le grenier une boîte de bérets basques. Provenance ? Usage ? En tout cas, si quelqu'un a besoin d'un béret basque pour un usage quelconque, Y en a ! Un pull et un manteau dont je ne me souviens pas. Les tenues changeaient rarement et ne donnaient lieu à aucune compétition.

Les filles : jupe plissée. Pull. Tout ça fait maison. Pendant longtemps nous avons porté des duffle-coats achetés à Conches que nous trouvions du dernier chic (d'abord trop longs, et puis, au fil du temps, trop courts).

Au lycée Racine, obligatoire, la blouse. Au début il fallait acheter un modèle réglementaire dans une officine non loin du lycée, avec un patron compliqué de plis religieuse sur le devant, pas faciles à repasser. Plus tard, cette obligation ne tint plus, et il fut loisible d'acheter ces fameuses blouses où on voulait, et désormais plus simples. Roses pendant une quinzaine, bises la suivante. Ce qui permettait à l'administration de ramasser les blouses "oubliées" entre deux quinzaines. Et faciles à identifier puisqu'elles portaient en haut à gauche (je crois) en rouge prénom, nom et classe. Cette obligation n'était en fait pas gênante et nous dispensait de comparer nos tenues - en dessous."

Dans le jardin d'Isabelle.

Ca, c'est dans notre forêt. Avec de bons yeux on peut distinguer les chatons qui ont ouvert.