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Vélo rando dodo
1 mai 2024

Vincent a sûrement raison !

à propos de l'étoile polaire ! D'ailleurs, j'y avais un peu pensé, mais comme cette étoile avait l'air toute petite, et qu'elle n'était pas entourée de ses copines habituelles, je pensais qu'on l'avait juste oubliée là, au bout de la branche...

Recyclons encore un poême hospitalier :

"La grosse lune blonde
Accompagne ma nuit
Tout en faisant sa ronde
Son bel oeil me suit"

Il a fallu attendre longtemps hier soir pour avoir les résultats de l'analyse, dans une atmosphère de plus en plus pesante. Les pronostics étaient mauvais. Les résultats aussi, mais moins pires que ce qu'on craignait. Le bon docteur va expliquer tout ça, faisons-lui confiance. En plus, j'ai maintenant un rhume, ce qui alourdit encore l'ambiance...

Le chien renifleur ! Voilà un sujet plus intéressant : C'était une cocker, venue avec sa maîtresse, renifler les punaises de lit chez la Toulousaine : Eh bien, malgré toute sa bonne volonté et son ardeur impatiente (elle adore cette traque), elle n'a rien trouvé. Pas de punaises ? Punaises éradiquées par tous les efforts déployés ? Chenilles "professionnelles" ? Il n'en manque pas dans le coin : Isabelle en élève même deux dans un bocal. Elles tissent un cocon, et elle espère ainsi avoir un "papillon de compagnie". D'ailleurs, Raphaël, en plus du lapin, réclame maintenant un poisson  rouge ! Est-ce pour s'exercer à le pêcher ? Il a des idées de pêche en étang...

La suite ?

"Et voilà qu'on me rappelle que j'ai même appris à nager à mon neveu  (cf commentaire) ! En fait, je lui ai juste donné un coup de pouce, je pense qu'il y serait arrivé sans moi ! ,
Il faut bien l'avouer : je n'ai jamais été une grande sportive : D'abord, dans notre environnement parisien et lycéen de l'époque, le sport n'était guère à l'honneur. Disons-le, : il était même plutôt méprisé. C'était bien porté d'être "nulle en gym". D'ailleurs, rien ne nous y encourageait. Surtout pas les installations sportives du lycée (je pense que mes enfants connaissent ça par coeur). Au lycée Racine, une grande salle de gym était desservie par un vestiaire commun avec les toilettes. Le saut avait lieu dans une cour exigüe, proche de la rue de Rome, donc de la gare Saint-Lazare. Les nulles (dont je faisais partie) sautaient rarement : on s'arrêtait de sauter quand on ratait. Pour moi, c'était tout de suite. Après, on attendait que ça se passe.
Le "stade" du mercredi après-midi,, c'était une horreur. Déjà, il fallait prendre le métro jusqu'à Suffren, et là, dans le stade dominé par la tour Eiffel, on attendait l'heure de rentrer : quelques courses sur machefer, quelques passages - périlleux - sur un portique. J'avais horreur de ça, et me demande encore à quoi ça ouvait bien servir, quelques franchissements d'un mur et sauts dans un bac à sable (une sorte de parcours du combattant ?). Tout pour plaire !
La seule année où il se passa quelque chose de plaisant : nous eûmes droit au patin à glace. Je réussis à me tenir debout et à évoluer... un quasi-miracle.
Il y aurait bien eu la possibilité de faire de l'aviron sur la Seine. Mais ma mère y était farouchement opposée : Les péniches ! Le danger ! Et c'est vrai qu'à l'époque, je savais à peine nager.
Mes pensums s'arrêtèrent - presque - quand un de mes profs s'avisa que j'étais mal foutue, et que j'avais (soi-disant) une jambe plus courte que l'autre. Finis les cours de gym normaux, et le stade ! Tout ça était remplacé par un cours de "gym corrective" qui avait lieu dans un couloir de passage pour aller vers la sortie du lycée. Il fallait donc attendre que les allers et venues soient terminés pour étaler notre tapis. Ca ne servait à rien.
Je fis de la kiné avec "Souris", une amie de la famille qui habitait rue du Bac dans un appartement qui avait gardé un certain charme (mais les toilettes dans l'escalier). Tout ça fut complètement inutile. On me mit un temps une talonnette à ma chaussure gauche et puis on ne fit plus rien.
Les résultats en gym étaient complètement méprisés. Quelle ne fut pas ma stupéfaction quand je vis pleurer une de mes condisciples apprenant qu'elle était dernière ! L'explication vint : son père était lui-même prof de gym !.
Je ne réussis jamais à grimper à la corde... Quand je pense que Vincent et Antoine entament une grande carrière d'escalade !"

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Commentaires
V
Comment ca, « surement »?
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